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Il n'y a pas de statues dans le quartier Martin Nadaud sauf celle qui s'élève sur la pelouse du square du Docteur Grancher. Autrefois ( il y a bien longtemps...) s'élevait une statue sur la place Martin Nadaud, faisant face à l'entrée de la bouche de métro Guimard. Une belle statue ( Gambetta? ou autre), aurait bien sa place en ce lieu.

Panneaux indiquant l'ancienne gare de Bastille avec des photos d'époque ainsi que des photos de la construction de l'Opéra Bastille qui a remplacé la gare. Ces panneaux pourraient être placés entre l'Opéra Bastille et le bas des escaliers de la Promenade plantée ou bien sur la Promenade plantée, en haut des escaliers, à l'entrée, côté Bastille.

En perspective des JO 2024, du Grand Paris, pour sortir de chez soi, ré-enchanter le quotidien, explorer différemment son quartier et aussi ré-ouvrir les musées, cette initiative vise à investir la rue de façon ludique, artistique, citoyenne et sportive. Particulièrement en QPV, le long du périphérique et pour toustes ! Quoi ? - 1 carte interactive/application pour découvrir des curiosités du quotidien + une programmation multiculturelle participative en choisissant les artistes qui interviendront sur les espaces identifiés (street art, danse, musique, projections...) + focus durant la fête de la musique, NuitBlanche, journées du matrimoine/patrimoine afin de relier initiatives locales et temps forts Parisiens - 1 itinéraire en réel entre parcours de santé, balade sportive, randonnée et circuit touristique, artistique, évolutif et inspirant, comme un musée à ciel ouvert ! Comment ? - fresques street art, ateliers jeunesse - positionner des QRcodes pour découvrir les oeuvres, diffuser des vidéos, de la musique - investir les panneaux d'affichages pour alterner entre publicité/information et art

Saint-Étienne du Mont est l’église la plus riche de Paris en vitraux des XVIe et XVIIe siècles et sa renommée attire de nombreux touristes venus admirer ces œuvres exceptionnelles. De larges baies éclairent le chœur de cette église. Parmi celles-ci, on remarque la verrière du Saint-Nom de Jésus (baie 101), exécutée en 1540 par le peintre-verrier Jean Chastellain, auteur de plusieurs vitraux parisiens. Lui faisant face du côté sud, la verrière illustrant la vie de saint Étienne (baie 102) fut réalisée l’année suivante par un autre peintre-verrier réputé, Nicolas Beaurain. Les qualités de ces vitraux sont incontestables : ils ont été inspirés par les meilleurs peintres de cette époque et l’on y observe l’utilisation de verres rares et de peinture avec des émaux aux couleurs variées. Ces deux verrières présentant d’importantes dégradations, il est urgent d’envisager leur restauration pour assurer la pérennité de ce beau patrimoine vitré de la Renaissance française.

En perspective des JO 2024, du Grand Paris, pour sortir de chez soi, ré-enchanter le quotidien, explorer différemment son quartier et aussi ré-ouvrir les musées, cette initiative vise à investir la rue de façon ludique, artistique, citoyenne et sportive. Particulièrement en QPV, le long du périphérique et pour toustes ! Quoi ? - 1 carte interactive/application pour découvrir des curiosités du quotidien + une programmation multiculturelle participative en choisissant les artistes qui interviendront sur les espaces identifiés (street art, danse, musique, projections...) + focus durant la fête de la musique, NuitBlanche, journées du matrimoine/patrimoine afin de relier initiatives locales et temps forts Parisiens - 1 itinéraire en réel entre parcours de santé, balade sportive, randonnée et circuit touristique, artistique, évolutif et inspirant, comme un musée à ciel ouvert ! Comment ? - fresques street art, ateliers jeunesse - positionner des QRcodes pour découvrir les oeuvres, diffuser des vidéos, de la musique - investir les panneaux d'affichages pour alterner entre publicité/information et art

TITRE : sculpter les façades pour valoriser le patrimoine, prévenir des graffitis OBJET : murs laissés lisses et vides, objet récurrent de mauvais graffitis, nécessitant retrait récurrent à la charge de la communauté DETAIL : dans la continuité des façades sculptées parisiennes, et dans le respect du code de l'urbanisme parisien, (ré)implémenter des bas-reliefs, haut-reliefs, sculptures ou autres œuvres (mosaïques, peintures en trompe-l’œil, street art, treillage) sur les murs laissés "vides" depuis guerres et bétonisations. Statistiquement, un mur en relief est 90% moins (stats "MUR AIE conseil") la cible des "bandes", qui préfèrent afficher leur "nom" au spray sur un endroit vaste, lisse, visible (façade claire, angle de rue, souvent à hauteur des yeux) pour marquer leur territoire Ce projet concerne tous les bâtiments publics, de pierre, enduit ou béton (écoles, bibliothèques, musées, mairies, hôpitaux, et autres églises, passages, HLM, gares,...) Sa réalisation en pierre (de taille, marbre, stuc...) est préférable sur les façades en pierre , en street-art (mosaïque, peinture, collage) sur le béton. Réalisation par des artisans parisiens, franciliens, ... sur concertation